ALLERGIE, INTOLÉRANCE OU SENSIBILITÉ ?

Il existe 3 niveaux d’intolérance, mesurables biologiquement et dont la prise en charge dépend du diagnostic : l’allergie, l’intolérance et la sensibilité. En cas d’allergie et d’intolérance, l’aliment, reconnu comme un corps étranger provoque une réaction immunitaire plus ou moins rapide. C’est le cas par exemple de la maladie cœliaque, entraînant de nombreux symptômes digestifs et non digestifs (fatigue, carences entre autre) plusieurs semaines ou des années après la première mise en contact avec le gluten.

RÉFLEXE N°1 : JE RESPECTE MON CORPS ET JE M’ÉCOUTE

L’entrain des repas conviviaux et la consommation d’alcool lors de ces événements nous empêchent souvent d’être objectifs sur nos vrais besoins alimentaires. Alors faîtes-vous plaisir mais ne perdez pas le cap : goûtez, savourez, mâchez longtemps, patientez avant de vous resservir, et surtout… Ecoutez-vous, écoutez vos sensations de faim et de satiété. L’objectif ? Finir le repas « juste comme il faut » en ayant gouté et savouré avec plaisir mais sans lourdeurs.

Découvert il y a plus de 100 ans, le glutamate monosodique a été initialement utilisé pour relever la saveur des plats sans savoir à l’époque que le glutamate est un puissant addictif et neurotoxique. Le glutamate existe à l’état naturel, on le retrouve dans de nombreux aliments. Cependant à l’état naturel il est lié à d’autres acides aminés avec lesquelles il forme des protéines et sa consommation ne pose alors pas de problème. Mais dès lors qu’il est utilisé de façon isolée, comme additif alimentaire, il devient une molécule peu recommandée.

QUAND SE TOURNER VERS LA PHYTOTHÉRAPIE ?

La phytothérapie possède un très large champ d’application. Elle peut être efficace contre des pathologies aiguës ou chroniques mais aussi en prévention. Elle peut également permettre d’accompagner des traitements allopathiques pour en potentialiser les effets ou améliorer le bien-être des patients. Mais attention, les plantes peuvent à l’inverse aggraver des états pathologiques, inhiber l’action de certains médicaments ou provoquer des toxicités.

L’ÉTUDE EN QUESTION

La majorité de ces études porte plus spécifiquement sur le cancer colo-rectal. Il en ressort qu’une consommation de 100g de viande rouge par jour augmenterait de 17% le risque de cancer colorectal et qu’une consommation de 50g de viande transformée par jour augmenterait de 18% ce dernier. Des résultats similaires seraient ressortis pour les cancers du pancréas, de la prostate et de l’estomac. Toutefois, ces résultats sont à nuancer.

Le but de cette méthode est de :